A 22 ans, fessé par la prof honte ou plaisir ?

Catégories : Hommes fessés
il y a 7 ans
La fac de droit est un endroit exceptionnel pour toutes sortes de découvertes. C’est notamment là que j’ai découvert le plaisir de la fessée.

Je partageais un TD avec Florence, une amie plutôt jolie et bien faite. La prof, Mlle C., était une jeune femme d’une trentaine d’années qui me plaisait beaucoup. Malgré mon attirance, je n’étais pas très attentif à son cours et mes résultats s’en ressentaient.

Cependant, je réussissais à me faire remarquer, parfois en bien grâce à mes interventions, mais le plus souvent en mal en bavardant avec Florence. Un soir, à la fin du premier semestre, Mlle C. nous aborda pour nous signaler qu’elle était assez mécontente de nous car, outre nos mauvais résultats, nos bavardages l’empêchaient de faire correctement son cours. Elle nous indiqua également qu’elle avait un problème important avec nous dont elle voulait nous parler. Mais comme elle était pressée, elle nous demanda de passer chez elle le lendemain soir.

Nous n’avions pas pris particulièrement au sérieux ses réprimandes et le lendemain soir, comme convenu, nous sonnions chez elle. Elle habitait un petit appartement coquet dans le centre de Paris et nous reçut vêtue, comme à son habitude, d’un tailleur.

À peine installés sur son canapé, nous fûmes surpris par la teneur de son discours : outre les reproches de bavardage, elle nous accusait d’avoir triché au partiel en copiant l’un sur l’autre (ce qui, je dois le reconnaître, était parfaitement exact). Le professeur titulaire ne s’en était pas aperçu, mais elle ne pouvait pas laisser passer cette fraude. Sachant pertinemment que la sanction d’une tricherie aux examens est le renvoi de la faculté, nous ne faisions plus du tout les fiers.

Elle nous proposa toutefois un « arrangement » : comme nous nous comportions comme des gamins, elle nous punirait comme tels, c’est-à-dire par la fessée. J’avoue avoir ri lorsqu’elle formula cette proposition… elle, pas du tout. Je compris alors qu’elle était sérieuse. Je fantasmais depuis longtemps sur le fait de recevoir une fessée par une belle femme, mais la recevoir devant Florence était une toute autre chose. Florence ne faisait d’ailleurs pas la maligne et ne voulait pas non plus être renvoyée de la fac. Elle fut la première à accepter la proposition.

Pour ma part, je tentai de convaincre notre prof que ce n’était pas sérieux : à 22 ans, elle ne pouvait pas nous donner une fessée ! Contrairement à Florence, je n’imaginais pas que cette fessée puisse être donnée autrement que cul nu. Mais Mlle C. coupa court à toute discussion et me prit le bras :

  • Soit tu reçois la fessée que tu mérites, soit tu pars, mais tu seras renvoyé de la fac.

Déstabilisé, je restai sans réaction, ce dont elle profita pour me faire allonger sur le rebord du canapé.

Elle commença à me donner quelques claques par-dessus mon jean pour bien me faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas. Quand elle entreprit de le dégrafer, je voulus réagir, mais elle me foudroya du regard, ce qui me fit renoncer à toute velléité de réaction et acheva de me soumettre à ses ordres. Finalement, je me retrouvai en slip. Pour bien montrer qui était la maîtresse, elle me tira la tête en arrière par les cheveux. Une série de claques m’arracha des cris de douleur. Mais cela ne faisait que commencer : elle descendit bientôt mon slip sur mes cuisses.

Me voila donc fesses nues et sexe raidi, prêt à être fessé comme un gamin. J’étais rouge de honte. Florence n’en menait pas large mais devait se délecter de la vision que ma nudité lui offrait.

Et sans rien dire, Mlle C. s’assit, me bascula sur ses genoux et reprit la fessée qui, cette fois, fut beaucoup plus douloureuse. Mes fesses commençaient sérieusement à chauffer et à devenir écarlates, mais mon sexe devenait de plus arrogant en frottant sur mes cuisses sous l’effet des claques.

Je multipliais les efforts pour rester digne, mais la douleur devenait beaucoup plus vive. Je tentais vainement de prier ma fesseuse de s’arrêter, mais elle ne m’écoutait pas et les claques tombaient de plus en plus fort sur mes fesses.

Cette fessée me parut durer un temps infini. J’entrevoyais Florence à quelques mètres de moi, moitié ravie du spectacle qui lui était offert, moitié inquiète en prévoyant ce qui attendait ses propres fesses. La fessée s’arrêta enfin et Mlle C. m’ordonna de me relever. Elle remarqua mon excitation avec un air très sévère, mais ne dit rien et m’ordonna de me mettre au coin, les mains sur la tête, face au mur et, bien sûr, les fesses nues.

Sans rien voir de ce qu’il se passait dans mon dos, j’entendis Mlle C. ordonner à Florence de baisser sa jupe et sa culotte et de se mettre en position sur ses genoux. Florence restait silencieuse, mais j’entendis ses vêtements tomber et la fessée commencer. Elle ne fut pas plus clémente avec Florence qu’elle ne l’avait été avec moi, les claques tombaient sur ses fesses durement et longtemps. J’étais encore très excité par ce spectacle dont je ne percevais que les bruits et ne pus m’empêcher de tourner la tête pour m’en délecter.

Florence était allongée sur les genoux de notre prof, sa jupe à terre et sa culotte juste accrochée à une seule cheville, son t-shirt remontant jusqu’au bas de ses seins. Elle cherchait à éviter les claquesen remuant ses jambes et ses fesses, mais sa fesseuse la tenait fermement et toutes tombaient avec une merveilleuse précision sur ses fesses déjà bien rouges. Florence gémissait et poussait de petits cris, je sentais bien qu’elle ne résisterait pas très longtemps à ce traitement.

Mlle C. s’aperçut alors que je les regardai, ce qui ne lui plut pas du tout. Elle me foudroya à nouveau du regard et me donna l’ordre de me retourner et de regarder le mur. Ne voulant pas aggraver mon cas, je tournai la tête et assistai à la fin de la fessée de Florence en ne profitant que du son de cette fessée magistrale.

La fessée de Florence m’excitait terriblement et j’étais très gêné à l’idée qu’elle découvrit l’érection que je ne parvenais pas à maîtriser. Mlle C. envoya finalement mon amie au coin à côté de moi sans rien ajouter. Nous échangions quelques regards, les fesses rouges et bien chaudes. Florence découvrit en souriant mon excitation et je devinai que ma fessée lui avait procuré une excitation similaire.

Une demi-heure passa ainsi, en silence. Enfin Mlle C. revint vers nous. Mon émoi provoqué par la contemplation des jolies fesses de Florence ne lui échappa bien évidemment pas.

  • Je vois que cette punition vous plaît ! Très bien, nous allons donc continuer !

Je me hasardai à lui dire que nous avions compris, mais il était bien trop tard. Elle nous emmena dans sa chambre en nous tenant chacun par une oreille et nous fit allonger sur son lit l’un à côté de l’autre sur une serviette.

  • Celle-ci vous allez la recevoir ensemble !

Nous reçûmes à nouveau une vigoureuse fessée à la savate. Mlle C. ne s’arrêta que lorsque les forces lui manquèrent. Nous étions tous les deux en larmes et nos fesses nous brûlaient. Elle nous envoya encore une fois au coin, mais séparés. Au bout d’un moment, elle autorisa Florence à se rhabiller et à partir. Quant à moi, en constatant que mon excitation n’avait pas diminué, elle me reprit une dernière fois sur ses genoux pour une nouvelle fessée avec la savate avant de me congédier.

À compter de ce jour, nous n’avons plus jamais été dissipés en TD et avons eu de très bons résultats à nos examens de fin d’année. Nous n’avons jamais parlé de cette histoire à personne.

Que dire de cet événement ? Je garde un cuisant mais excellent souvenir de cette première « vraie » fessée qui en a appelé beaucoup d’autres par la suite et je sais que Florence en a aussi gardé aussi un excellent souvenir.

Steff

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Comme quoi la fessée a du bon ! Et en plus, ils en gardent un bon souvenir, que demander de mieux , Rien !
Je vois que cette punition vous plaît ! Très bien, nous allons donc continuer ! J'ADORE ! ! ! ! et à priori, eux aussi !
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